Bonjour, j'aimerais vous poser une question qui me concerne dans ma relation avec mes enfants et plus particulièrement sur la loi pour la famille. Je suis divorcé, aujourd'hui je ne vois plus mes enfants depuis 5 ans, Dans les établissements scolaires, malgré mon implication j'ai le sentiment d'être un parent de second ordre, n'ayant pas droit à autant d'informations que leur mère (pas part manque de volonté des chefs des établissements mais tout simplement par oubli, puisque que rien ne les oblique à communiquer, à part envoyer un bulletin scolaire trimestriel, à condition d'avoir communiqué ses coordonnées de parent).
La méditation familiale n'a qu'une portée relative puisqu'elle n'est pas obligatoire. Sur les 5 magistrats que j'ai rencontré durant une audience aucun n'ont fait une proposition dans ce sens, au plus pour un en réponse que c'était inutile si les deux parents n'était pas motivés. Il semble que les juges aux affaires familiales préfèrent appliquer des décisions soit disant pour protéger les enfants quitte à détruire des liens familiaux entre père et enfants. Ceci est une aberration totale. À l'époque où les parents sont considérés agir à part égale où en est-on dans la coparentalité ? Pour ma part je paie une pension alimentaire régulièrement mais je ne suis pas pour autant considéré comme un parent à part entière. Pourquoi suspendre aussi facilement les droits d'un parent ? Pourquoi la résidence d'un père n'est elle pas considérée à part égale avec celle de la mère ? Quelle est votre position par rapport à cela ? J'espère que vous aurez force à développer une proposition qui va dans le sens de la médiation plutôt que laisser des magistrats appliquer des décisions arbitraires qui sont contraires au bon sens de la relation père enfants. Cordialement.